Visuellement très similaire à la précédente, c'est principalement l'avant qui évolue. Le capot plongeant et les phares légèrement arrondis dans leur partie basse sont les évolutions les plus visibles. Avec son regard tronqué, le nez de la Golf 8 rappelle d'ailleurs une de ses plus grosses concurrentes : la Renault Megane.

C'est à l'intérieur que les plus grosses évolutions sont à découvrir, à l'image d'une instrumentation entièrement digitale de série qui fait appel à deux écrans TFT. Un de 10 pouces derrière le volant et un de 8,25 pouces tactile sur la console centrale qui peut passer à 10 pouces en option. L'ensemble des commandes devient tactile rendant l'ergonomie moins évidente. Un peu plus longue mais conservant le même empattement, l'habitabilité reste bonne mais le coffre correct (380 litres) est toutefois inférieur à ses concurrentes françaises 308 (420 litres) et Megane (434 litres).

Sur la route, la Golf conserve son toucher caractéristique alliant un confort ferme à un comportement sûr et des réactions prévisibles et sécurisantes.
Sous le capot, le downsizing s'est arrêté et on peut même parler d'un upsizing avec la disparition des 3 cylindres 1.0 et 1.2 et l'adoption d'un 1.5 en entrée de gamme.